L’on retrouve dans l’histoire de l’humanité des événements qui ont inévitablement impacté le mode de vie, la pensée, la façon d’aborder la vie, de de tout être humain que nous sommes.
On peut raisonnablement affirmer que la Covid qui s’est immiscée dans nos vie sans y être invitée, ni même désirée, nous marque mais marquera les générations futures. Il y avait l’avant Covid, il y aura l’après Covid.
Cette pandémie nous a permis de prendre conscience des limites de la mondialisation. Lorsque la Chine se trouve dans l’incapacité de fournir des puces électroniques au secteur automobile européen, les chaines de montage sont à l’arrêt !
On voyage dans l’espace, mais un « petit virus » plonge les populations dans la maladie et impacte l’économie mondiale.
La pandémie modifie nos comportements
Cette pandémie n’a fait que renforcer, chez certaines personnes, le souci de prendre soin de la planète, de s’assurer de sa sauvegarde et l’on a constaté, par exemple, la volonté de développer le commerce de proximité.
Si c’est tout à fait louable, cela demandera sans nul doute aussi des sacrifices. Il ne sera sans doute plus possible, dans cette vision des choses, de manger en Belgique ou en France des ananas du Costa Rica, des lychees de Madagascar ou des bananes en provenance de l’autre bout du monde.
Commerce de proximité et externalisation
Comme toute bonne chose doit se consommer avec modération, il faudra sans doute agir avec réflexion et sérénité pour aborder la question du commerce de proximité. Pourquoi aller chercher loin, ce que l’on peut trouver proche de chez soi ?
Dans ce changement de mentalité ou d’interrogation sur son mode de vie et les choix à faire, l’on peut aussi se demander quelle est et quelle sera la place de l’externalisation de certaines tâches.
L’externalisation des services n’est pas, à priori, générateur de dommages d’un point de vue écologique et préservation de la planète. Envoyer un mail d’un bureau à un autre ou à 10.000 km n’aura pas plus d’impact sur le réchauffement climatique ni sur la couche d’ozone.
L’externalisation dans un monde qui change
L’externalisation n’est pas un mode de travail qui est nouveau et bien avant le développement d’internet, il était courant pour des indépendants, des professions libérales, des entreprises, d’avoir recours aux services de prestataires extérieurs. Pour citer les plus habituels dans le domaine du service et des prestations intellectuelles, on pourra évoquer le secteur comptable, le secteur juridique, le secrétariat social, la médecine du travail…
Par le principe de l’externalisation, on va confier à une tierce personne une partie de tâches que l’on ne souhaite pas effectuer au sein de l’activité et ce pour diverses raisons. Un indépendant ne va pas engager un comptable, mais faire appel à une fiduciaire pour traiter ses factures. Egalement il fera appel à un cabinet d’avocat en cas de litiges, pour la rédaction de contrat… mais ses besoins ne nécessitent pas d’engager les services d’un avocat à temps plein.
Il en est de même pour le traitement de la correspondance, des rapports qui pendant de nombreuses années ont pu être externalisé auprès de secrétaires indépendantes à qui l’on remettait des petites cassettes de dictaphone.
L’externalisation conserve sa place dans l’évolution du travail
L’externalisation trouve sa place et son développement dans le cadre notamment du traitement des dictées et donc la transcription de fichiers audio en format Word. Auparavant il fallait faire parvenir les « petites cassettes » à la secrétaire, ce qui demandait soit un déplacement, un envoi par la poste, donc des démarches qui avaient un réel impact écologique, même si à l’époque on ne s’en préoccupait pas trop.
Avec le développement d’internet et de la digitalisation des fichiers, plus besoin de prendre sa voiture, de poster le travail, un seul mail suffit.
On peut donc valablement considérer qu’externaliser une partie de son travail à 10.000 km n’a pas un impact si négatif sur la planète que d’acheter des fruits provenant de l’autre bout du monde.
Pour suivre la tendance actuelle : acheter local c’est aussi dépenser local, ce qui ne peut être que positif pour l’économie … locale !
Externalisation : Fuite des capitaux ou valorisation du capital humain ?
Externaliser une partie de son travail à 10.000 km, c’est aussi payer le coût du travail à l’étranger et l’on peut donc considérer que ce n’est pas profitable pour l’économie locale.
C’est en partie vrai, mais tout dépend essentiellement des véritables motivations qui amènent à privilégier l’externalisation lointaine d’une série de tâches.
Prenons le cas d’une entreprise qui emploie 10 personnes pour son service de comptabilité. Si elle décide d’externaliser une grande partie de sa comptabilité dans un pays où le salaire est moindre et qu’elle va de ce fait licencier 8 personnes pour ne plus garder qu’une équipe minimum au sein de son entreprise, on peut valablement affirmer qu’il s’agit d’une externalisation préjudiciable à l’économie locale. La seule motivation de cette externalisation semble donc être de diminuer les coûts … pour augmenter les bénéfices.
Dans certains cas, c’est aussi la seule solution que peut adopter la société pour diminuer ses coûts et rester compétitive dans un marché ou la concurrence est féroce.
L’externalisation peut aussi s’envisager comme la manière de valoriser l’investissement qui est fait dans le cadre du contrat d’emploi d’une personne.
Secrétariat indépendant le partenaire de confiance depuis plus de 15 ans
Secrétariat indépendant qui fait partie du Groupe Raznor Service met à disposition des indépendants, des professions libérales, des PME toute une série de services qui rentrent dans les taches que doivent effectuer, en tout ou en partie, les professionnels indépendants, qu’il s’agisse d’une personne qui travaille pour son compte, d’un médecin d’un avocat, d’un huissier de justice, d’un notaire, pour divers experts, comme les experts immobiliers, d’un dirigeant de PME…
Il s’agit principalement de missions de « secrétariat » comme de la dactylographie de correspondance, de courrier, de rapports, d’expertises, de protocole, de comptes-rendus médicaux effectués de manière régulière ou sporadique, selon les demandes et les besoins des clients.
Egalement de la transcription de conférences, de réunions, d’assemblées générales, de cours et dans ce cas on parlera d’audiotypie.
Mais également la société offre ses services dans la cadre de la création ou mise à jour de bases de données, de l’encodage comptable, du suivi des devis.
Une équipe de passionné des technologies du web assiste les professionnels afin d’assurer leur présence sur internet (création de site, refonte, référencement), de veiller à leur réputation (community manager).
Ces différentes tâches qui non seulement requièrent des connaissances bien spécifiques sont aussi assez chronophages et donc monopolisent votre personnel, par exemple votre secrétaire, durant plusieurs heures de la journée.
Peut-être aussi que l’indépendant (au sens le plus large) n’a soit pas encore les moyens financiers pour envisager l’engagement de personnel administratif ou qu’il n’a pas assez de travail à confier à cette personne pour justifier d’un engagement.
Ceci étant, les rapports, la correspondance, les offres … doivent être faites et donc l’indépendant va consacrer une partie de son temps à faire des tâches essentielles à son entreprise mais qui ne représentent pas la nature même de son activité.
Prenons le cas d’un expert immobilier dont la mission première est d’établir des rapports d’expertise. Est-il profitable pour lui, qu’il passe la moitié de son temps à faire des expertises et le reste du temps à dactylographier ses rapports. Bien évidemment il faut qu’il puisse se consacrer à 100% au développement de son activité, à faire fructifier son savoir et pas à consacrer une partie de son temps à des tâches administratives qui ne sont pas l’essence même de son activité.
Est-il profitable à médecin spécialiste qu’il prenne de son temps pour dactylographier lui-même ses rapports d’expertise, ses protocoles au détriment du temps qu’il peut consacrer à ses patients ?
Dans ce cas, comme dans bien d’autres, l’externalisation trouve toute sa place et sa justification.
Externalisation et valorisation passe par « Secrétariat indépendant »
L’externalisation ne pourra jamais se substituer au travail que peut faire une secrétaire au sein d’une entreprise. Il s’agit d’une personne qui œuvre au sein même de l’entreprise, du cabinet, auprès de l’indépendant et dont les tâches et les responsabilités sont aussi variées qu’essentielles.
Si la secrétaire consacre la moitié de son temps, voire plus, à faire des travaux de dactylographie, qui sont pourtant essentiel à l’entreprise, il semble plus profitable d’un point de vue de ses capacités, d’occuper son temps à des tâches plus essentielles au développement de l’activité et de déléguer ce travail facilement externalisable auprès d’un prestataire comme secrétariat indépendant.
Ce n’est sans doute pas par hasard si Le Groupe Raznor Services est présent auprès des indépendant, professions libérales ou des PME au travers de ses différentes filiales comme secrétariat indépendant depuis plus de 15 ans.
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